domingo, 1 de noviembre de 2020

Hommage national à Samuel Paty : le discours d’Emmanuel Macron

 

Hommage national à Samuel Paty : le discours d’Emmanuel Macron

Dans ses premier mots à la tribune, visiblement ému, Emmanuel Macron adopte un ton martial, rappelant aussi que des mesures ont déjà été prises ces derniers jours. "Je n'aurai pas de mot pour évoquer la lutte contre l'islamisme politique, radical. Les mots, je les ai eus. Le mal, je l'ai nommé. Les actions, nous les avons décidées. Je ne parlerai pas du cortège de terroristes, de leurs complices et des lâches qui ont rendu possible cet attentat. Je ne parlerai pas de ceux qui ont livré son nom aux barbares. De nom, eux, n'en ont même plus. Je ne parlerai pas de l'indispensable unité que tous les Français ressentent. Elle est précieuse et oblige tous les responsables à s'exprimer avec justesse." "Ce soir, je veux parler de votre fils, je veux parler de votre frère, de votre oncle, de celui que vous avez aimé. De ton père. Ce soir, je veux parler de votre collègue, de votre professeur, tombé parce qu'il avait fait le choix d'enseigner. Assassiné parce qu'il avait décidé d'apprendre à ses élèves à devenir citoyen. Apprendre les devoirs pour les remplir. Apprendre les libertés pour les exercer. Ce soir, je veux vous parler de Samuel Paty", explique Emmanuel Macron à la tribune en dressant le portrait du jeune professeur assassiné. "Samuel Paty aimait passionnément enseigner, et il le fit si bien", rend hommage le chef de l'État à Samuel Paty. "Samuel Paty incarnait au fond ce professeur dont rêvait Jaurès dans cette lettre aux instituteurs", reprend le chef de l'État en s'appuyant sur la lettre lue plus tôt durant la cérémonie. "Nous avons tous ancré dans nos cœurs, dans nos mémoires, le souvenir d'un professeur qui a changé le cours de notre existence. Vous savez, cet instituteur qui nous a appris à lire, à compter, à nous faire confiance. Cet enseignant qui ne nous a pas seulement un savoir, mais nous a ouvert un chemin, un livre, un regard, un instant passé par cette considération, Samuel Paty était de ces professeurs que l'on oublie pas", déclame Emmanuel Macron à la tribune. https://www.lepoint.fr/societe/en-dir...

Cérémonie d'hommage national à Samuel Paty à la Sorbonne.

Depuis la cour de la Sorbonne, lieu historique de l'enseignement universitaire français, le président de la République Emmanuel Macron a rendu un hommage national au professeur Samuel Paty.

(Re)voir la cérémonie :



https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/10/21/ceremonie-dhommage-national-a-samuel-paty-a-la-sorbonne

LE DISCOURS

Mesdames, Messieurs,

Ce soir je n’aurai pas de mots pour évoquer la lutte contre l’islamisme politique, radical, qui mène jusqu’au terrorisme. Les mots, je les ai eus. Le mal, je l’ai nommé.
Les actions, nous les avons décidées, nous les avons durcies, nous les mènerons jusqu’au bout.

Ce soir, je ne parlerai pas du cortège de terroristes, de leurs complices et de tous les lâches qui ont commis et rendu possible cet attentat. Je ne parlerai pas de ceux qui ont livré son nom aux barbares, ils ne le méritent pas. De noms, eux n’en n’ont même plus. Ce soir, je ne parlerai pas davantage de l’indispensable unité que toutes les Françaises et tous les Français ressentent. Elle est précieuse et oblige tous les responsables à s’exprimer avec justesse et à agir avec exigence. Non.

Ce soir, je veux parler de votre fils, je veux parler de votre frère, de votre oncle, de celui que vous avez aimé, de ton père. Ce soir, je veux parler de votre collègue, de votre professeur tombé parce qu’il avait fait le choix d’enseigner, assassiné parce qu’il avait décidé d’apprendre à ses élèves à devenir citoyens. Apprendre les devoirs pour les remplir. Apprendre les libertés pour les exercer. Ce soir, je veux vous parler de Samuel PATY.

Samuel PATY aimait les livres, le savoir, plus que tout. Son appartement était une bibliothèque. Ses plus beaux cadeaux, des livres pour apprendre. Il aimait les livres pour transmettre, à ses élèves comme à ses proches, la passion de la connaissance, le goût de la liberté. Après avoir étudié l’Histoire à Lyon et avoir envisagé de devenir chercheur, il avait emprunté la voie tracée par vous, ses parents, instituteur et directeur d’école à Moulins, en devenant « chercheur en pédagogie » comme il aimait à se définir, en devenant professeur. Aussi ne pouvait-on trouver meilleur endroit que la Sorbonne, notre lieu de savoir universel depuis plus de huit siècles, le lieu de l’humanisme, pour que la nation puisse lui rendre cet hommage.

Samuel PATY aimait passionnément enseigner et il le fit si bien dans plusieurs collèges et lycées jusqu’à celui de Conflans-Saint-Honorine. Nous avons tous ancré dans nos cœurs, dans nos mémoires le souvenir d’un professeur qui a changé le cours de notre existence. Vous savez, cet instituteur qui nous a appris à lire, à compter, à nous faire confiance. Cet enseignant qui ne nous a pas seulement appris un savoir mais nous a ouvert un chemin par un livre, un regard, par sa considération.

Samuel PATY était de ceux-là, de ces professeurs que l’on n’oublie pas, de ces passionnés capables de passer des nuits à apprendre l’histoire des religions pour mieux comprendre ses élèves, leurs croyances. De ces humbles qui se remettaient mille fois en question, comme pour ce cours sur la liberté d’expression et la liberté de conscience qu’il préparait depuis juillet encore l’été dernier à Moulins à vos côtés et des doutes qu’il partageait par exigence, par délicatesse.

Samuel PATY incarnait au fond le professeur dont rêvait JAURÈS dans cette lettre aux instituteurs qui vient d’être lu : « la fermeté unie à la tendresse ». Celui qui montre la grandeur de la pensée, enseigne le respect, donne à voir ce qu’est la civilisation.

Celui qui s’était donné pour tâche de « faire des républicains ».

Alors, reviennent comme en écho les mots de Ferdinand BUISSON « Pour faire un républicain, écrivait-il, il faut prendre l’être humain si petit et si humble qu’il soit […] et lui donner l’idée qu’il faut penser par lui-même, qu’il ne doit ni foi, ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef, quel qu’il soit » « Faire des républicains », c’était le combat de Samuel PATY.

Et si cette tâche aujourd’hui peut paraître titanesque, notamment là où la violence, l’intimidation, parfois la résignation prennent le dessus, elle est plus essentielle, plus actuelle, que jamais. Ici, en France, nous aimons notre Nation, sa géographie, ses paysages et son histoire, sa culture et ses métamorphoses, son esprit et son cœur. Et nous voulons l’enseigner à tous nos enfants.

Ici, en France, nous aimons le projet tout à la fois terrien et universel que porte la République, son ordre et ses promesses. Chaque jour recommencer. Alors, oui, dans chaque école, dans chaque collège, dans chaque lycée, nous redonnerons aux professeurs le pouvoir de « faire des républicains », la place et l’autorité qui leur reviennent. Nous les formerons, les considérerons comme il se doit, nous les soutiendrons, nous les protégerons autant qu’il le faudra. Dans l’école comme hors de l’école, les pressions, l’abus d’ignorance et d’obéissance que certains voudraient instaurer n’ont pas leur place chez nous. « Je voudrais que ma vie et ma mort servent à quelque chose » avait-il dit un jour. Comme par prescience.

Alors, pourquoi Samuel fut-il tué ? Pourquoi ? Vendredi soir, j’ai d’abord cru à la folie aléatoire, à l’arbitraire absurde : une victime de plus du terrorisme gratuit. Après tout, il n’était pas la cible principale des islamistes, il ne faisait qu’enseigner. Il n’était pas l’ennemi de la religion dont ils se servent, il avait lu le Coran, il respectait ses élèves, quelles que soient leurs croyances, il s’intéressait à la civilisation musulmane.

Non, tout au contraire, Samuel PATY fut tué précisément pour tout cela. Parce qu’il incarnait la République qui renaît chaque jour dans les salles de classes, la liberté qui se transmet et se perpétue à l’école.

Samuel PATY fut tué parce que les islamistes veulent notre futur et qu’ils savent qu’avec des héros tranquilles tels que lui, ils ne l’auront jamais. Eux séparent les fidèles, des mécréants.

Samuel PATY ne connaissait que des citoyens. Eux se repaissent de l’ignorance. Lui croyait dans le savoir. Eux cultivent la haine de l’autre. Lui voulait sans cesse en voir le visage, découvrir les richesses de l’altérité.

Samuel PATY fut la victime de la conspiration funeste de la bêtise, du mensonge, de l’amalgame, de la haine de l’autre, de la haine de ce que profondément, existentiellement, nous sommes.

Samuel PATY est devenu vendredi le visage de la République, de notre volonté de briser les terroristes, de réduire les islamistes, de vivre comme une communauté de citoyens libres dans notre pays, le visage de notre détermination à comprendre, à apprendre, à continuer d’enseigner, à être libres, car nous continuerons, professeur.

Nous défendrons la liberté que vous enseigniez si bien et nous porterons haut la laïcité. Nous ne renoncerons pas aux caricatures, aux dessins, même si d’autres reculent. Nous offrirons toutes les chances que la République doit à toute sa jeunesse sans discrimination aucune.

Nous continuerons, professeur. Avec tous les instituteurs et professeurs de France, nous enseignerons l’Histoire, ses gloires comme ses vicissitudes. Nous ferons découvrir la littérature, la musique, toutes les œuvres de l’âme et de l’esprit. Nous aimerons de toutes nos forces le débat, les arguments raisonnables, les persuasions aimables. Nous aimerons la science et ses controverses. Comme vous, nous cultiverons la tolérance. Comme vous, nous chercherons à comprendre, sans relâche, et à comprendre encore davantage cela qu’on voudrait éloigner de nous. Nous apprendrons l’humour, la distance. Nous rappellerons que nos libertés ne tiennent que par la fin de la haine et de la violence, par le respect de l’autre.

Nous continuerons, professeur. Et tout au long de leur vie, les centaines de jeunes gens que vous avez formés exerceront cet esprit critique que vous leur avez appris. Peut-être certains d’entre-eux deviendront-ils enseignants à leur tour. Alors, ils formeront des jeunes citoyens. À leur tour, ils feront aimer la République. Ils feront comprendre notre nation, nos valeurs, notre Europe dans une chaîne des temps qui ne s’arrêtera pas. 

Nous continuerons, oui, ce combat pour la liberté et pour la raison dont vous êtes désormais le visage parce que nous vous le devons, parce que nous nous le devons, parce qu’en France, professeur, les Lumières ne s’éteignent jamais. Vive la République. Vive la France.

viernes, 12 de junio de 2020

UNITÉ 3 . C.O. ET E.O. ACTIVITÉS

UNITÉ 3.- COMPRÉHENSIÓN ET EXPRESSION ORALE. ACTIVITÉS. QUESTIONS

ACTIVITÉS. QUESTIONS


Unité 6
LEÇON 16
Pendant = durante
Chez ( preposición) = a casa de
La campagne = el campo
Pêcher = pescar / la pêche = la pesca
Faire du vélo = montar en bici
Je ne sais pas : no sé/
SAVOIR = SABER
Je sais – tu sais – il sait
Nous savons – vous savez – ils savent

ALLER = IR
JE VAIS – TU VAS – IL VA
NOUS ALLONS – VOUS ALLEZ – ILS VONT
La plage = la playa

Se baigner = bañarse
Je me baigne – tu te baignes – il se baigne
Nous nous baignons – vous vous baignez
Ils se baignent
Courir = correr
Trop = demasiado
Très = muy
Faire du cheval = montar a caballo
ÇA = eso (cela) C’est ça! Ça va?
Prendre des photos = hacer fotos
Rester = quedarse
Ici = aquí // aussi = también
Là-bas = allí
Correspondant / correspondante
Un Copain / une copine

PHRASES – activités
Il va faire du cheval
Elle va se baigner à l’océan / nager=nadar
Il va faire de l’escalade
Il va pêcher dans la rivière
Ils vont jouer au volley
Il va prendre des photos
Il va faire du vélo.
Elle va courir avec son chien
Elles vont aller au parc d’attractions.

LEÇON 17
Quel temps fait-il? / Quel temps il fait?

RESTER = quedarse
Il pleut = llueve / PLEUVOIR = llover, 
la pluie= la lluvia
Il fait froid = hace frío
Froid = frío / chaud = calor
Il fait chaud = hace calor
Le froid – la chaleur
Il fait beau = hace bueno
Le soleil brille
il fait de l’orage // l’orage = la tormenta
il y a du vent

Quand il fait de l’orage j’aime aller au cinéma
J’aime jouer avec mes copines
Quand il y a du vent, j’aime écouter de la musique.
Je fais du vélo
Quand il fait froid, je fais du ski
Quand Il fait beau, j’aime aller au parc d’attractions
Regarde, le jardin est tout blanc = il neige
NEIGER = nevar // la neige = la nieve
Ummm! J’ai chaud. Je vais me baigner
Quand il fait chaud, je vais me baigner
Il fait très chaud
Neiger = nevar / il neige // la neige = la nieve
J’ai chaud = Yo tengo calor.
Je vais me baigner = Me voy a bañar

Les loisirs = actividades de tiempo libre
Quels sont tes loisirs?
J’aime…
Aller à la piscine
Faire un bonhomme de neige
Rester à la maison ( quedarse en casa)
Se promener = pasear
Aller au cinéma
Regarder la télé
Aller à la plage
Regarder par la fenêtre = mirar por la ventana
Aller au parc d’attractions
Faire du ski
Faire de la planche à voile
Prendre des photos
Faire du vélo
Écouter de la musique
Lire
Pêcher
Nager dans l’océan
Étudier
Courir
Faire du cheval
Nager - se baigner

Les saisons de l’année sont:
L’été – l’automne – l’hiver - le printemps
En  été , en automne, en hiver, Au printemps.

Qu’est-ce que tu aimes faire quand il fait froid?
Quand il fait froid, j’aime rester à la maison,
aller au cinéma et regarder la télé.

Quelle est ta saison préférée?
Quel est ton animal préféré?
-          Pourquoi ?  (por qué?)
-          Parce que …. (porque..)
-          Pour quoi faire? (para hacer qué)
-          Pour …. (para …)




domingo, 7 de junio de 2020

domingo, 24 de mayo de 2020


Unité 5: Dans ma ville
Leçon 13 : Mon quartier (Mi barrio)
  
LE LIEU
-          Le lieu où l’on va ( lugar a dónde)
Je vais au collège, à l’école, au lycée
ALLER :ir
Je vais – tu vas – il va
Nous allons, vous allez, ils vont

Le lieu où l’on est ( lugar en dónde)
Je suis au collège, à l’école, au lycée
À + article = à + le = au / à + les = aux
À la gare, à l’hôpital
-          Le lieu d’où l’on vient ( lugar de dónde)
De + article : de + le = du / de + les = des
Je viens du collège, de l’école, du lycée
VENIR = VENIR
Je viens – tu viens – il vient
Nous venons – vous venez – ils viennent

OUAIS = OUI = sí
Où tu habites ?
Est-ce que / Où est-ce que tu habites ?
Où habites-tu ?

Où ?= (dónde ?) Où est-ce que tu vas ?=
D’où ( de dónde) D’où est-ce que tu viens ?
Avant, antes ><après, después
Ensuite – puis – après = después, a continuación
Depuis = desde
Derrière ( detras de ) >< devant ( delante de)
Tourner (girar)
Aller
Traverser
Prendre
Je prends – tu prends – il prend
Nous prenons – vous prenez - ils prennent

Tout droit (todo recto)
à gauche ( a la izquierda)
à droite ( a la derecha)
jusqu’à = hasta
attendre = esperar
attends
à tout à l’heure
au revoir
à bientôt

LA GARE = LA estación
TOURNER = Tourne à gauche, tournons ,tournez
ALLER = Va tout droit, allons, allez
TRAVERSER = Traverse la place, traversons, traversez
VENIR = Viens, venons, venez
ARRIVER = llegar / l’arrivée / ARRIVÉE
SORTIR = salir / la sortie / SORTIE

À côté de = al lado de
Le croisement
Le rond-point
Le pont / un pont
L’Hôtel de ville , la mairie = el ayuntamiento
Prenez la sortie de droite
La sortie = la salida
Au fond / au bout de la rue

SON
GRAPHIE
EXEMPLES
[S]
S INITIALE
Salut, semaine, soldat
SS
Poisson, aussi, passage
C + E, I
Ce, citron, cerise, ici
Ç
Leçon, garçon,reçu, ça
-TION
Récitation, information
[Z]
Z
Onze, douze,
S ENTRE VOYELLES
Poison, oiseau, maison
LA LIAISON
Ilsont, vous avez, deux hommes

Poisson, poison
Il sont( AVOIR), ils sont (ÊTRE)
Nous avons, nous savons
Le désert, le dessert

LEÇON 14
APRÈS = DESPUÉS DE >>< AVANT = ANTES DE
APRÈS LE MATCH = después de
Devant / derrière
J’ai faim= tengo hambre< AVOIR FAIM= tener hambre
J’ai soif = tengo sed< AVOIR SOIF = tener sed
J'ai sommeil = tengo sueño < AVOIR SOMMEIL = tener sueño
Moi aussi, yo también<> moi non plus = yotampoco
ON = se / nosotros
ON + troisième personne du singulier
On va = nous allons
Quel jour on est?
On y va?
On parle français
Acheter = comprar

MANGER – NOUS mangeons
Lire = JE LIS – tu lis, il lit , nous lisons, vous lisez, ils lisent
PRENDRE = JE PRENDS- tu prends, il prend, nous prenons
Vous prenez, ils prennent
DÎNER = je dîne, nous dînons, ils dînent

ACHETER = comprar
J’achète – tu achètes – il achète
Nous achetons – vous achetez
Ils achètent
Attends = attendre = esperar
D’abord = en primer lugar
Chaussures = zapatos
venir
Fermé = cerrado

Attends = ATTENDRE = esperar
J’attends – tu attends – il attend
Nous attendons – vous attendez
Ils attendent
D’ABORD = en primer lugar
Un magasin = una tienda
Les vêtements = la ropa
Le magasin de vêtements
Plus tard = más tarde
Trop = demasiado
Le magasin de chaussures
Il est trop tard / trop = demasiado
C’est fermé = estácerrado
FERMER = cerrar<> OUVRIR = abrir
C’EST FERMÉ<> C’EST OUVERT
Elle est malade = ellaestá enferma
Mauvais = malo
FAIRE LES COURSES = hacer las compras
Vite = deprisa

DEVOIR = TENER QUE
Je dois – tu dois – il doit
Nous devons – vous devez
Ils doivent
·         Devoir + infinitif
o   Je dois étudier = tengo que estudiar
FAIRE LES COURSES = hacer las compras
L’argent = el dinero
Chaque = cada

An, am, en, em[a nasal]
Un, um, in, im, yn,ym, ain, aim, ein, eim[e nasal]

PLACEZ CES MOTS DANS LA CASE QUI CORRESPOND :
Vingt – cent – cinq – vent – vin – magasin – boulangerie – trente – soixante – centimes
tente – donc - singe - lente –onze - dinde - bande - monde - plainte - banque     
A nasal
Vent
cent
E nasal
pain
O nasal
bonbon


COMBIEN ? Cuánto ?
C’est combien ? Cuánto es ?
COMBIEN COÛTE
Où = dónde / je vais à
D’où? = de dónde?

ACHETER = COMPRAR
Le prix
L’argent = el dinero
RESTER = QUEDARSE
UN TIMBRE = UN SELLO
UNE TRANCHE DE JAMBON
IL DOIT ALLER À LA BOULANGERIE, À LA PHARMACIE,
À LA CHARCUTERIE, AU MARCHÉ DE FRUITS ET LÉGUMES
À LA POSTE, À LA PÂTISSERIE, À LA LIBRAIRIE
FAIS VITE ¡=  DATE PRISA
PRENDRE = COGER
Je prends – tu prends – ilprend
Nous prenons – vousprenez – ilsprennent
À MON AVIS – JE CROIS QUE – JE PENSE QUE
UNE ASSIETTE (un plato)
Dans la bouche du chien
Les pattes du chien
Aller à // venir de

LEÇON 15 Ils travaillent où ?

Travailler à +
Ils travaillent à le au magasin de fruits et légumes
Elle travaille à l’hôpital
Elle travaille dans un restaurant / au restaurant

LES MAGASINS DU CENTRE COMMERCIAL
CENTRE COMMERCIAL
PROFESSION - MASCULIN
PROFESSION - FÉMININ
LA BOULANGERIE
LE BOULANGER
LA BOULANGÈRE
L’HÔPITAL
L’INFIRMIER
L’INFIRMIÈRE
LE MAGASIN DE VÊTEMENTS
LE MAGASIN DE CHAUSSURES
LE VENDEUR
LA VENDEUSE
LA PHARMACIE
LE PHARMACIEN
LA PHARMACIENNE
LE MARCHÉ DE FRUITS ET LÉGUMES
LE MARCHAND
LA MARCHANDE
LA LIBRAIRIE
LE LIBRAIRE
LA LIBRAIRE
LE COLLÈGE – LE  LYCÉE
MONSIEUR LE PROFESSEUR
MADAME LE PROFESSEUR
LA CHARCUTERIE
LE CHARCUTIER
LA CHARCUTIÈRE
LA BOUCHERIE
LE BOUCHER
LA BOUCHÈRE
LA PÂTISSERIE
LE PÂTISSIER
LA PÂTISSIÈRE
LE SALON DE COIFFURE
LE COIFFEUR
LA COIFFEUSE
LE CAFÉ – LE RESTAURANT
LE SERVEUR
LASERVEUSE

Formation du féminin :
-          ER
-          ÈRE
-          EUR
-          EUSE
-          IEN
-          IENNE
-          D, T (NO SE PRONUNCIA LA CONSONANTE)
-          + E (se pronuncia la consonante)
-          E
-           NO CAMBIAN


LA PARFUMERIE – un parfum
Travailler = trabajar
JE TRAVAILLE – TU TRAVAILLES – IL TRAVAILLE
NOUS TRAVAILLONS – VOUS TRAVAILLEZ
ILS TRAVAILLENT

Un chocolat = un bombón
Un bonbon = un caramelo
Une tarte aux fraises
Une BD = bandedessinée (cómic)
Mignon – les cheveux courts

C’EST / CE SONT

À QUI EST = DE QUIÉN ES?
Ce roman est à moi. C’estmon roman
À QUI EST LE ROMAN? AU LIBRAIRE
Oùest le roman¿ Leromanestà lalibrairie
Où = dónde

C’est le roman et la BD dulibraire, de la libraire
C’est le peigne et les ciseaux du coiffeur, de la coiffeuse
C’est le chocolat et le jusd’orange du serveur, de la serveuse
Ce sont les clémentines et les fraises du marchand ( de la marchande) de fruits et légumes
C’est le pantalon et la robe du ( de + le ) vendeur, de la vendeuse
DU / D’OÙ

Le dernier / la dernière

FOOTBALLEUR
IL TRAVAILLE AU MARCHÉ – IL EST MARCHAND –
ELLE TRAVAILLE AU MARCHÉ – ELLE EST MARCHANDE
ELLE TRAVAILLE À L’HÔPITAL – ELLE EST INFIRMIÈRE
IL TRAVAILLE AU RESTAURANT- IL EST SERVEUR
ELLE


ON FAIT LE POINT

INDIQUER UN CHEMIN = Indicar un camino
Aller – tourner – traverser – venir – prendre – être - trouver
Va tout droit dans la rue. Tourne à gauche et à droite, va tout droit
Traverse la place et
D’abord, tout d’abord (en primer lugar),
Ensuite, puis, après (después)
Deuxième
La rue = la calle / la roue = la rueda
IL EST À DROITE
Traverse, passe
Carrefour, rond-point, croissement
La deuxième rue à gauche
Lucas doit aller à la boulangerie, au magasin de fruits et légumes,
Au marché, à la pharmacie, à la poste, à la charcuterie
Et à la librairie.
DEVOIR > TENER QUE
Jdois, tu dois, il doit
Noudevons, voudevez, ildoivent
À l’église

6 Complète la liste
Aller à / au
Venir de la / du
Je vais au cinéma
Elle vient de l’hôpital
Dans / danse
De l’hôpital, À LA PHARMACIE, à la poste ,de la gare,
À la banque, du magasin de chaussures, à l’église

7.-ON + 3ème personne du singulier
On a, on a, on écoute, on mange, on prend, on lit

8.-
Pours’amuser (divertirse):
La piscine, la bibliothèque, le CDI, le cinéma, le zoo,
Le jardin publique, la patinoire
La rue:
Le trottoir( la acera), l’avenue, la place, le feu, la voiture,
La moto, le bus, le vélo, l’arrêt de bus, le passageclouté
Les produits:
Un croissant, une baguette de pain, un parfum, un gâteau,
Une poire, une pomme, une pomme de terre, des fraises, une tranche de jambon, une robe

La Dictée
Salut, je m’appelle Hugo et j’ai douze ans.
Mon père est libraire. Il travaille dans un centre commercial.
Ma mère est infirmière, elle travaille dans un hôpital.
Je vais au collège à vélo.
À midi je mange à la cantine.
Le mercredi après-midi, je vais au stade jouer au foot.
Le samedi après-midi, je regarde la télé et je fais mes devoirs.